Le collectif, dans un courrier adressé aux élus communautaires de la CUGN, avec copie à l’ensemble des élus municipaux de l’agglomération, leur demande de mettre fin à un mode de gestion dont le caractère néfaste est encore aggravé par l’état actuel de nos transports en commun :
- un « tram » dont le maintien en service ira jusqu’en 2022 grâce à de coûteux travaux, et au doublement de la ligne 1 « par des lignes parallèles ou des doublages autobus »,
- des conséquences financières très lourdes pour la Communauté urbaine mais aussi pour la poursuite de l’extension du réseau et qui assèchent les ressources de la ligne 2,
- un acharnement de l’exécutif de la CUGN à déléguer coûte que coûte à une entreprise privée la gestion du service public. Une fuite en avant qui nous mène « droit dans le mur ».